Le Feng shui coréen dans la conception des villes

La Corée du Sud a construit ses villes et villages suivant des principes ancestraux, en partie hérités de la Chine, auxquels sont venus s’agréger des coutumes et croyances plus locales.  Aujourd’hui, si certaines pratiques restent d’usage, leur urbanisme galopant ignore plus souvent cet héritage, notamment dans sa forme la plus visible, celle des grands ensembles, qui poussent comme des champignons dans toutes les villes de la péninsule.

L’art de choisir l’emplacement de son lieu de vie, qu’il s’agisse de la fondation d’une ville ou de la construction d’une habitation, est très important dans la société coréenne. Ce choix est perçu comme allant influencer fortement l’avenir et la prospérité de la famille ou du clan. C’est l’art de la géomancie, mot dont l’usage a fini par s’imposer pour rendre le mot chinois feng shui et son équivalent coréen 풍수 pungsu.

 

Grands principes du 풍수 pungsu :

En occident, nous sommes relativement familiers du feng shui, connu notamment pour ses règles et théories sur l’arrangement interne de l’habitat et la circulation positive des énergies.

Le terme coréen correspondant, 풍수 pungsu, est, considéré par les Coréens comme unique et distinctivement différent du feng shui chinois. Il est vrai que, avant de s’intéresser à l’harmonie intérieure des habitats, il pose les principes théoriques pour orienter le choix de leur emplacement, par rapport à l’environnement extérieur.

Le 풍수 pungsu ne se limite pas à la géographie des lieux, terme qui se traduit d’ailleurs en coréen plutôt par le mot 지리 jiri. Il est en fait un système complexe d’idées et de pratiques.

Le 풍수 pungsu a été essentiellement diffusé, sous la dynastie Goryo (935-1392), par le bouddhisme, qui a ajouté sa sensibilité propre aux concepts originaux. Il s’est par la suite beaucoup diffusé dans la société coréenne tout au long de la dynastie Yi (Période Joseon: 1392-1910).

Le cosmos et la circulation des énergies

Deux ensembles de notions sont à la base du 풍수 pungsu ou géomancie coréenne :

  • Le음양오행 eumyang-ohaeng (le yin et le yang, et les cinq transformations), qui touche à:
    • la pensée du cosmos, mis en ordre par le 음양 eumyang (yin et yang)
    • et, le rapport d’engendrement-destruction entre les cinq éléments 오행 ohaeng que sont le bois 목 mok, le métal 금 geum, la terre 토 to, le feu 화 hwa et l’eau 수 su
  • Le 기 gi ou énergie, qui irrigue la terre, demande à circuler, disparaît, ressurgit (la géomancie traite de l’énergie dans l’espace géographique tout comme l’acupuncture au niveau du corps)

Le 음양오행  eumyang-ohaeng fournit donc un cadre cosmologique permettant de lire et de comprendre un site ou un espace. Mais il permet aussi de comprendre et de prévoir comment il peut changer, en lien avec l’évolution du cosmos, qui est elle-même réglée. La géomancie coréenne se charge par là aussi d’une dimension divinatoire. A l’aide d’un compas réticulé, proposant tout un système d’équivalences entre le ciel et la terre, les orients et les couleurs, on pourra identifier les qualités spécifiques d’un site.

L’analyse des 기 gi permet à l’homme d’apprivoiser le 기 gi terrestre. L’énergie de la terre circule au moyen du dragon 용 yong. L’analyse topographique prend alors toute son importance: elle va s’intéresser à la généalogie des dragons-montagnes, gage de leur vitalité, et prêter attention au détails de leur forme pour en tirer parti.

 

A ces deux grands systèmes, au cœur de la géomancie, viennent s’ajouter beaucoup d’autres influences. Dans le 풍수지리설 pungsu-jiri-seol (Discours géomantique), on trouve des éléments issus tant du taoïsme que du confucianisme ou du bouddhisme.

Le trait majeur du 풍수, comparativement au fengshui, est l’importance réservée à l’analyse des formes: les aspects topographiques l’emportent sur le souci premier de l’orientation. Cela peut s’expliquer par le fait que, si la montagne n’est jamais très haute, elle est toujours présente. Par ailleurs, tenir un discours sur l’environnement immédiat est accessible à tous, ce qui a suscité la diffusion d’un discours géomantique minimal. Et avant l’appareillage théorique et intellectuel, la géomancie coréenne priorise la connaissance intime du terrain.

Les deux caractères qui le constituent sont d’ailleurs les mots 풍 vent (ou feng) et 수 eau (ou shui), ce qui montre bien que le 풍수 pungsu est d’abord unn rapport avec la nature.

 

L’énergie du dragon-montagne

Le dragon 용 yong est le médium de circulation du 기 gi. En Corée, il apparaît sous les traits de la montagne 산 san. Mais la « montagne » n’a pas la même acceptation topographique qu’en occident. Elle peut être un petit monticule, même artificiel. De même, une montagne ne sera pas forcément 산 san si elle n’est pas vivante, c’est-à-dire habitée par un dragon (용 yong) vivant, doté d’une veine 맥 maek où circule l’énergie terrestre. Lorsqu’il marche ou circule dans les montagnes, l’Occidental moderne remarque des sommets séparés par des vallées ; le géographe coréen ancien voit plutôt une ligne de crête continue.

Le système de pensée de la géomancie met en rapport de manière relative des lieux animés par la même énergie terrestre. La montagne est ainsi hiérarchisée: la montagne Grand ancêtre (대저 taejo) -> Ancêtre (Chongsa) -> Petit Ancêtre (Sojo) -> Parent (부모산 bumosan)-> Embryon (T’ae) -> Gestation (Sik) -> Visage du fœtus (Yuk) -> Nouveau né (Ing).

En Corée, au niveau du pays tout entier, on considère que la montagne du Grand Ancêtre, qui impulse son énergie, est la chaîne chinoise des Kunlun (ou Kollyun en coréen). Les monts Kunlun sont, dans le feng shui chinois, la source de trois « dragons » qui traversent le pays d’ouest en est : au nord Huang He (fleuve Jaune), entre le Huang He et le Yangzi Jiang, enfin au sud du Yangzi Jiang. L’énergie entrerait en Corée par le mont Baektu-san (mont sacré de la Corée, c’est le lieu de naissance de Dangun, le fondateur légendaire de la Corée, et de Kim Il-sung selon sa biographie officielle), puis gagnerait la région de Pyongyang, celle de Songak (Kaesong), puis celle de Hanyang (Séoul), traverserait les massifs de T’aebaek, Sobaek et Kyeryong, puis se dirigerait vers Kaya pour revenir à Songak (Kaesong).

Une montagne-dragon (le pendant du grand dragon céleste) doit être à la fois continue et irrégulière. Le « réseau » doit être continu pour assurer la non-interruption du 기 terrestre. Sans cela, une montagne ne pourrait pas être un dragon-montagne. Les montagnes ne séparent pas les vallées comme en Europe : elles unifient le pays et l’ensemble du monde connu. Elles constituent une architecture ; le pays est une maison qui rassemblent toutes les villes, dans laquelle chacun trouve sa place.

Le site ne vaut donc rien si la « montagne principale » est un pic isolé. Elle doit donc s’inscrire dans une chaîne de montagnes dont les sommets et les crêtes ondulent comme le corps d’un dragon (monstre souvent bénéfique dans la pensée chinoise).

Une longue tradition cartographique, héritée de celle de la Chine, a produit au cours des siècles des représentations de plus en plus précises de la péninsule coréenne comme un immense réseau arborescent et continu de chaînes montagneuses. Au 18e siècle, Shin Kyeong-jun dresse un catalogue de treize chaînes de montagnes de troisième ordre (정맥 jongmaek) qui toutes sont reliées les unes aux autres. Elles convergent pour certaines vers une chaîne de deuxième ordre (정간 jeonggan) qui se dirige vers Vladivostock et pour la plupart vers la chaîne principale (대간 daegan), celle des monts Taebaek.

On peut voir ces chaînes et sous-chaînes dans une carte de Kim Jeong-ho, géographe du 19e siècle et grande figure nationale. Le 대동여지도 Daedongyeojido, atlas historique de 1861 dont il existe une présentation interactive, décrit le pays comme un gigantesque système cardiaque qui irrigue jusqu’aux points les plus extrêmes.

Ce qui se lit à l’échelle d’un pays se lie aussi au niveau local. D’innombrables dragons locaux existent, qui dominent et animent les sites familiers.

 

Les Orients et les couleurs

C’est lui, le 용 yong « local », qu’on recherche d’abord dans l’analyse des sites, qui se déroule en quatre temps:

  • Observer le dragon (kan nyong)
  • Se cacher du vent (chang p’ung)
  • se procurer de l’eau (tuk su)
  • Trouver son trou (chong hyol)

Cette analyse tend vers la recherche du paysage parfaitement auspicieux, où couler des jours heureux. Ce paysage est un paysage-giron, consistant en une succession au nord de montagnes ancêtres jusqu’à la montage principale qui protège un site ouvert au sud, et enchassé de chaque côté par des bras montagneux.

 

Les noms qui désignent les quatre orients du site font référence aux  sasinsa (사신사), protecteurs du site (et qui prennent leur source dans le Yi king) : au nord la tortue noire, au sud le phénix rouge, à l’ouest le tigre blanc et à l’est le dragon bleu (les Quatre Animaux). Ces noms, si le site est auspicieux et vivant, font simplement référence à différentes facettes du dragon.

Le compas de la boussole géomantique  vient compliquer les choses. En fonction de l’orientation d’un massif, d’un pic ou d’un mont, la dénomination du dragon change. Il y a ainsi 12 sous-types de dragons qui sont l’équivalent des dragons dans le ciel (les douze constellations du zodiac).

Les Coréens ont d’ailleurs cette expression : 배산임수 baesanimsu (背山臨水), ou « le dos à la montagne, arriver jusqu’à l’eau », « la montagne derrière, l’eau devant ». En application de ce principe, un cours d’eau doit aussi passer devant le palais ou devant la ville, si possible avec des méandres.

 

Le Cœur du paysage

On appelle 명당 myeongdang le meilleur emplacement pour construire une maison, un bâtiment ou même une ville. Le but de l’observation du dragon est de trouver ce 명당 myeongdang, ce cœur du paysage, l’endroit où s’expriment au mieux les vertus spécifiques au lieu et à l’usage recherché.

Le 명당 myeongdang se situe normalement au pied d’une montagne, au bord d’une rivière et là où convergent les influences positives d’une énergie 기 gi, appelées혈 hyeol. En ces lieux-là, y bâtir une maison ou y élever un tombeau assurera que bonheur et fortune augmenteront au fil des ans pour ses habitants et leur descendance.

D’un point de vue concret, myeongdang est un lieu ensoleillé, où l’on peut obtenir de l’eau et où l’air est pur grâce aux mouvements du vent.

 

Quelques réalisations concrètes

Séoul :

Séoul est une ville qui a été fondée le dos à la montagne, ouverte sur la rivière au sud. À Séoul, le palais royal, comme le palais présidentiel qui est aujourd’hui installé derrière lui, est placé au pied du mont Bugak ; la ville ancienne est bordée à l’ouest par le mont Inwang, au sud par le très touristique Namsan et à l’est par Naksan —laquelle est plus une colline qu’une véritable montagne.

Les cours d’eaux sont constitués par le fleuve Han, qui étire ses énormes méandres au sud de Namsan, et par le Cheonggyecheon, un ruisseau qui traverse le cœur de la ville ancienne à quelques centaines de mètres au sud du palais.

Le plan de la ville donne leur place au pouvoir du roi, dans la partie nord, au commerce sur un axe est-ouest (ou, en Chine, au nord du palais). Les maisons, le palais, la ville sont reliés aux montagnes qui les entourent, à la rivière qui les longe.

Cependant, le territoire idéal n’est pas la ville construite par les hommes, mais le Ciel. Afin de montrer qu’il a reçu mandat des forces célestes, le souverain s’efforce donc de choisir et de configurer une capitale qui ressemblera le plus possible au ciel.

Si l’étoile polaire est particulièrement importante, c’est parce que c’est la seule étoile immobile, celle autour de laquelle tournent tous les autres astres. Installé sous l’étoile polaire, au centre du palais autour duquel toute la structure de la ville a été pensée, l’empereur prouve qu’il est bien celui qui a reçu le « mandat du ciel » et accroît ses chances de le conserver — ou persuade le pays que c’est le cas.

L’empereur, comme le chef de famille, ne se tourne vers le nord que pour le culte aux ancêtres, dont l’autel et la tombe sont situés au nord.

Le feng shui est donc une attention particulière aux lieux, aussi bien très proches que très lointains.

La géomancie, à travers le yin, le yang et les cinq transformations, a influencé les constructions et l’urbanisme coréens.

Derrière le palais, à Séoul, on aperçoit le mont Bugak. Ce n’est pas seulement dû à l’abondance des montagnes en Corée : le roi Taejo, qui a choisi en 1394 ce lieu comme capitale, aurait pu trouver un site plus large et facile d’accès au sud de la rivière Han, à l’emplacement actuel de l’immense quadrillage de Gangnam. Il a préféré choisir une cuvette à quelques kilomètres au nord du fleuve, entourée de montagnes et de collines[1].

Pour remettre ce choix dans une perspective historique, il faut savoir que Taejo n’était encore qu’un soldat et un homme politique. Par un coup d’état, il a renversé un roi issu d’une lignée ancienne et compte bien fonder une dynastie durable. Il doit pour cela démontrer que les divinités supérieures lui ont bien confié le mandat du Ciel. Dans un même discours, le déclin des rois précédents est associé à la perte de « force » de leur capitale, Kaesong. À la fondation d’une nouvelle dynastie doit alors répondre le déplacement de la capitale dans un site qui, lui, possède encore toute sa force : c’est le projet de Taejo, qui par la même occasion marginalise les élites de l’ancien pouvoir, installées à Kaesong.

La ville vécue est plus complexe que sa représentation feng shui.

Il est toutefois certain que le choix d’une orientation nord-sud pour l’axe central du palais et de la ville est lié à la configuration des étoiles et en particulier à la présence au nord de l’étoile polaire.

Le palais dans la ville, comme l’empereur dans le palais, est donc toujours placé juste en-dessous de l’étoile polaire. Celle-ci représente l’Empereur céleste, auquel l’empereur terrestre est ainsi assimilé, relié.

A Séoul, la montagne principale (chusan) du nord est le mont Buk’san-san, la « montagne à venir » (chosan) au sud, le mont  Kwanak-san; on trouvera à l’ouest le tigre blanc du mont Togyang-san et à l’est le dragon bleu du pic Yongma-bong. Le site de Séoul se rapprochait du modèle idéal et a été choisi pour cette raison.

 

Les villages traditionnels

Et du pourquoi de l’importance donnée à la famille fondatrice (le choix leur a été propice)

Chaque village de Corée est ainsi adossé à une montagne, qui elle-même reçoit son énergie d’autres montagnes situées en arrière. Le lien se poursuit, de sommet en sommet, jusqu’à la chaîne Taebaek, qui ondule comme une colonne vertébrale du nord au sud de la péninsule.

 

Le temple et la montagne

Dans l’architecture du temple bouddhiste comme dans son implantation, le contexte est primordial. Loin de constituer un espace clos et suffisant à lui-même comme le château français associé à son jardin (microcosmes de Versailles ou de Vaux-le-Vicomte, refermés sur eux-mêmes), le temple forme une entité paysagère unique avec son environnement. Le fidèle arrive depuis la vallée, traverse plusieurs portes monumentales et parvient finalement au pavillon central consacré à Bouddha-Sakyamuni (ou à Amitabha). De part et d’autre, d’autres pavillons consacrés aux bodhisattvas, aux génies chamaniques. Au-delà du temple, la forêt. Plus haut, la montagne. Devant, souvent, un cours d’eau comme le préconise le pungsu.

Ce lien entre le temple et la montagne est aussi le résultat de l’histoire. À l’époque Joseon (1392-1910), l’idéologie confucianiste dominante a relégué le bouddhisme loin des lieux de pouvoir et des agglomérations.

La disposition des bâtiments est le résultat de contraintes physiques et religieuses : on quitte progressivement le monde de la vallée en gravissant la montagne. De la sorte, le temple s’adapte au site naturel au lieu de chercher à adapter celui-ci à ses besoins.

L’intégration au paysage joue à tous les niveaux de l’architecture.

Les poutres sont faites du bois des arbres qui recouvrent les pentes environnantes ; on recherche même des arbres au tronc recourbé pour les poutres de la charpente, toujours incurvée. C’est un travail d’artisanat, que le charpentier réalise sur place mais sans prendre des mesures de la même manière que son collègue occidental : il compare les troncs et les assemble en fonction de leurs caractéristiques et de l’effet qu’il souhaite produire.

 

Des applications aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on ne peut pas placer librement une maison au meilleur emplacement. La plupart des gens habitent en appartement. Il est donc difficile de choisir la position ou la direction de son logement. Néanmoins, la géomancie est encore beaucoup utilisée en Corée. Les gens l’utilisent en ce qui concerne la décoration et l’aménagement de leur intérieur pour bénéficier des bienfaits (bonheur, fortune, santé…) de la géomancie.

L’agence d’architecture française XTU a remporté en 2006 un concours visant à concevoir le Musée de la Préhistoire de Jeongok en Corée du Sud, grâce à la sensibilité qu’ils ont su refléter dans leur projet à la nature et aux principes propitiatoires.

 

Conclusion

Le 풍수 n’est pas dépourvu de fondements pratiques. La montagne au nord réduit en principe la force des vents d’hiver. La rivière est également un choix évident pour les sites d’habitation de toutes les civilisations. Les sites conformes ont en fin de compte quelque chose d’attractif pour les yeux : la vision de la montagne qui se reflète dans un étang du palais, à côté d’un pavillon traditionnel, plaît de manière immédiate. Le feng shui, comme certains préceptes religieux, apporte donc un fondement magique à des règles de bon sens, de confort et de satisfaction esthétique.

L’habitat et le type d’habitation reflètent la vie quotidienne, la culture, les technologies, le climat et les croyances des différentes populations qui y habitent et ce, dans tous les pays du monde.

Le choix de l’emplacement est d’autant plus important lorsque que l’on sait que la Corée du Sud est un territoire fait de reliefs montagneux avec des hivers très froids et rudes, et des étés chauds et humides.

 

 

Sources :

On trouvera sur le blog suivant une très belle relation du feng shui en Corée, qui met l’accent sur la relation entre l’intérieur et le détail, et l’extérieur et le grandiose, avec un focus quelques villes emblématiques comme Séoul et Hahoe. Le teneur du blog a manifestement passé du temps à étudier à la question, à compulser des ouvrages et à visiter sur le terrain :

http://bloc-notes.thbz.org/archives/2015/07/la_ville_et_la.html

Un autre blog y consacre une page, en restant sur l’explication des principes sans examiner leurs applications dans le cadre de constructions urbaines :

http://atelier.de.francais.over-blog.com/la-géomancie-coréenne-pungsujiri

Un cabinet d’architecture a aussi fait l’expérience du feng shui en Corée :

http://beginmag.com/architecture-et-feng-shui-lexperience-coreenne-de-xtu/#.Wf2tpZfKsdU

http://www.souslecieldecoree.fr/comment-est-construit-un-hanok/

http://www.pss-archi.eu/article-25.html

DELISSEN Alain, Des dragons dans le paysage coréen, in L’homme et la société, n° 104, 1992, pp. 15-22

 

Il existe encore beaucoup plus de ressources en langue anglaise. Quelques exemples :

https://openendedsocialstudies.org/2016/06/25/pungsu-the-art-of-korean-geomancy/

http://www.baekdu-daegan.com

[1] http://bloc-notes.thbz.org/archives/2015/07/la_ville_et_la.html

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